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Le groupe de rock indé américain mené par David Longstreth signe «Song of the Earth», merveilleux album inspiré du compositeur autrichien, empreint d’espoir et de colère face à la catastrophe climatique.
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L’urgence est née chez Longstreth alors qu’en 2020 des incendies ravageaient Los Angeles, région où il vit désormais après de longues années à Brooklyn. Au même moment, il reçoit une sollicitation de Stargaze, orchestre berlinois déjà entendu aux côtés de nombre d’artistes de la même famille que la sienne (Julia Holter, Villagers, These New Puritans ou Owen Pallett), pour une création libre. En six semaines seulement, il écrit et compose ces «chants» où vibrent tour à tour la colère, l’abattement et l’espoir face aux ravages du dérèglement climatique, en miroir à la naissance de sa fille, qu’il destine dans un premier temps à une interprétation à deux voix, la sienne et celle d’une des trois chanteuses de Dirty Projectors, Felicia Douglass, entourées d’une formation resserrée de musique de chambre.
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