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Un nouveau Festival de Cannes commence, dans un monde «sauvage à l’intérieur et cinglé à la surface», aurait pu dire David Lynch qui n’est intolérablement plus là pour le voir ni le filmer – et cela suffirait déjà à donner raison à l’aphorisme culte de sa palme d’or 1990, Sailor et Lula. «La sélection dit : “Voici le monde que nous aimons, voici le monde en lequel nous croyons”», explique quant à lui le délégué général du Festival de Cannes, Thierry Frémaux, dans une interview au Parisien, amorçant le coup d’envoi de cette 78e édition. Le climat n’est pas celui, à couper au couteau, des dénonciations #MeToo en pagaille des années précédentes. Mais d’un quart de siècle à feu et à sang, qui do
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