NG décrit un «effet Trump» néfaste, qui accentue la fragilisation des droits humains déjà observée en 2024. L’organisation épingle également «le racisme systémique et la discrimination religieuse» en France.
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Au centième jour du second mandat de Donald Trump, l’ONG estime que «la campagne antidroits [de son] gouvernement» accélère «l’entrée de l’humanité dans une nouvelle ère brutale». En première ligne face à cette régression des droits, les personnes migrantes ou réfugiées, les femmes et les personnes LGBT. «Son attaque généralisée contre les concepts mêmes de multilatéralisme, d’asile, de justice raciale, de justice de genre, de santé mondiale et d’action vitale pour le climat exacerbe les dommages considérables que ces principes et institutions ont déjà subis et encourage d’autres dirigeants et mouvements antidroits à se joindre à son offensive», explique la secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard.
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